Le Palais de Seteais, situé dans la paroisse de Saint Martin (Sintra), a été construite au XVIIIe siècle au consul hollandais, Daniel Gildemeester, une partie des terrains cédés par le marquis de Pombal. Encadrée dans le milieu d'un terrain accidenté, où l'on peut voir la mer et le sommet de la Serra de Sintra.
Présente une architecture néo-classique, en soulignant l'entrée, avec des pignons triangulaires, fenêtres à guillotine et d'une échelle de deux bras qui se développe vers l'intérieur, la façade secondaire. Vous pouvez également voir l'adaptation du palais à l'irrégularité du terrain.
Au total, il ya deux séries de composites d'origine végétale - l'aile gauche, avec des plantes en U, qui se développe autour du patio, et l'aile droite de forme rectangulaire. Les façades principales sont symétriques, les deux dossiers. Les salles de l'aile gauche moulures sont peintes avec des fleurs et des couronnes, en soulignant les Pillement chambre avec des scènes figuratives écrit par Jean Baptiste Pillement, et le Hall de la Convention, avec la mer allusions mythologiques.
De salienetar encore pour grand escalier, deux bras et trois sections, donnant accès à l'étage inférieur. C'est le Palais décrit comme abandonnés sur le célèbre ouvrage d'Eça de Queiroz "Les Mayas".
Présente une architecture néo-classique, en soulignant l'entrée, avec des pignons triangulaires, fenêtres à guillotine et d'une échelle de deux bras qui se développe vers l'intérieur, la façade secondaire. Vous pouvez également voir l'adaptation du palais à l'irrégularité du terrain.
Au total, il ya deux séries de composites d'origine végétale - l'aile gauche, avec des plantes en U, qui se développe autour du patio, et l'aile droite de forme rectangulaire. Les façades principales sont symétriques, les deux dossiers. Les salles de l'aile gauche moulures sont peintes avec des fleurs et des couronnes, en soulignant les Pillement chambre avec des scènes figuratives écrit par Jean Baptiste Pillement, et le Hall de la Convention, avec la mer allusions mythologiques.
De salienetar encore pour grand escalier, deux bras et trois sections, donnant accès à l'étage inférieur. C'est le Palais décrit comme abandonnés sur le célèbre ouvrage d'Eça de Queiroz "Les Mayas".
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