Le couvent de São Jorge de Milreus, situé dans la paroisse de Castelo Viegas, a été fondé en 1080.
Au milieu du XIIe siècle, le couvent aurait atteint une grande prospérité, comme il ressort de la grande donation que Salvador Viegas a faite au cénobium en 1159 d'une gamme remarquable de biens dans le voisinage immédiat.
Ce qui peut être vu aujourd'hui à São Jorge de Milreus est le produit d'une importante campagne de remodelage menée à partir de 1526. Cette campagne maniériste monumentale était l'une des nombreuses jésuites à travers le pays, entrant dans le gouvernement de l'institution précisément au 16ème siècle. Pendant les deux siècles suivants, le couvent a fait l'objet de nombreuses campagnes artistiques partielles, notamment les revêtements carrelés de l'église et de la salle capitulaire, datant de la première moitié du XVIIIe siècle, et la campagne de peinture joanine d'André Gonçalves pour la chapelle. aimer l'église.
A partir de 1834, avec le passage à la possession du privé, Milreus voit son héritage artistique successivement aliéné, bien que son espace ait toujours été occupé.
Au milieu du XIIe siècle, le couvent aurait atteint une grande prospérité, comme il ressort de la grande donation que Salvador Viegas a faite au cénobium en 1159 d'une gamme remarquable de biens dans le voisinage immédiat.
Ce qui peut être vu aujourd'hui à São Jorge de Milreus est le produit d'une importante campagne de remodelage menée à partir de 1526. Cette campagne maniériste monumentale était l'une des nombreuses jésuites à travers le pays, entrant dans le gouvernement de l'institution précisément au 16ème siècle. Pendant les deux siècles suivants, le couvent a fait l'objet de nombreuses campagnes artistiques partielles, notamment les revêtements carrelés de l'église et de la salle capitulaire, datant de la première moitié du XVIIIe siècle, et la campagne de peinture joanine d'André Gonçalves pour la chapelle. aimer l'église.
A partir de 1834, avec le passage à la possession du privé, Milreus voit son héritage artistique successivement aliéné, bien que son espace ait toujours été occupé.
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